Bourse de l’immobilier :
Des vendeurs et des outils high-tech

La recette du succès ?

Pour Eddy Salah, elle se résume en cinq points : opter pour le commercial (95% des personnes travaillant à la Bourse de l’Immobilier sont des commerciaux générant du chiffre d’affaires), une organisation juridique claire (une même société est propriétaire des fonds de commerces), un esprit de famille, le choix des nouvelles technologies pour développer son réseau, et enfin la proximité du service. Dans les faits, la Bourse de l’Immobilier est placée sous la tutelle de la société holding COFILANCE détenue à 99,5% par Eddy Salah. Passionné avant l’heure d’informatique, il a créé le premier programme d’aide à la décision pour les agences immobilières en 1982. « Grâce aux nouvelles technologies, il est plus facile de gérer à distance l’ensemble des agences rattachées au siège social situé à Bordeaux. », confie-t-il. D’ailleurs, ici tous les programmes de la Bourse de l’immobilier sont des « produits maison »; des outils qui permettent d’avoir en temps réel toutes les informations nécessaires que ce soit sur les négociateurs, la progression des chiffres…. Mis en synergie l’ensemble de ces cinq critères a été à la base de la réussite de la Bourse de l’Immobilier.

Des résultats toujours à la hausse

Depuis sa naissance en 1980, la Bourse de l’Immobilier connaît une ascension continue. Après être devenu le leader sur le marché bordelais de la transaction en 1984, l’entreprise créée en 1985, le premier journal d’annonces immobilières : « bourse de l’immobilier infos ». En 1987 la Bourse de L’Immobilier passe sous le statut de société anonyme. Son chiffre d’affaires connaît alors une véritable envolée en passant de 5, 2 millions de frs à 8,2 millions de francs A l’heure actuelle, la Bourse de l’Immobilier affiche des résutats toujours à la hausse. De 28,5 million d’€ en 2005, il a atteint les 43,5 millions d’€ en 2007 et récemment à Lyon, une dizaine de nouvelles agences ont vu le jour.